Frank Whitney Instruction for Reconstruction Yoko Onos Performance Art

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Yoko Ono en 2007.

Informations générales
Naissance (89 ans)
Drapeau du Japon Tokyo, Japon
Activité principale Chanteuse, musicienne, poÚte, performeuse, comédienne, auteur-compositeur-interprÚte, actrice, écrivaine, cinéaste
Genre musical Rock expérimental, avant-garde, fine art rock, stone alternatif, free jazz, protopunk, new wave, musique électronique
Instruments Dirge, piano, clavier, percussion, synthétiseur, piano électrique
Années actives Depuis 1961
Labels Apple Records (1970-1973)
Capitol Records
Geffen Records (1980)
Polydor
Rykodisc
Astralwerks
Site officiel http://www.imaginepeace.com

Yoko Ono [one] , née le à Tokyo au Japon, est une artiste plasticienne, poÚte, performeuse, musicienne, chanteuse, compositrice, écrivain, comédienne et cinéaste japonaise.

Membre de l'avant-garde new-yorkaise dans les années 1960, qui gravite autour de John Cage, Yoko Ono développe des formes artistiques entre poésie, performance, cinéma et musique expérimentale. Elle a participé au courant artistique Fluxus.

Pour le grand public, elle est notamment connue pour le couple qu'elle forma Ă  partir de avec John Lennon, jusqu'Ă  son assassinat sous ses yeux Ă  New York le .

Biographie [modifier | modifier le code]

Enfance [modifier | modifier le code]

Yoko Ono naßt le à Tokyo au sein des Yasuda, l'une des familles commerçantes les plus riches du Japon. Sa mÚre, Isoko, est une peintre respectée, tandis que son pÚre Eisuke, pianiste de musique classique, est banquier [2] .

En 1937, elle est inscrite Ă  la compagnie scolaire GakushĆ«in de Tokyo, une Ă©cole rĂ©servĂ©e aux enfants descendants de familles d'aristocrates. Elle accommodate une Ă©ducation multiculturelle trĂšs riche et jouit d'une vie extraordinairement luxueuse et privilĂ©giĂ©e. Durant la Seconde Guerre mondiale, elle doit fuir les bombardements incessants de la capitale japonaise en se rĂ©fugiant avec son frĂšre et sa sƓur Ă  la campagne oĂč le luxe laisse place Ă  la misĂšre la plus totale, ce qui forge son caractĂšre. AprĂšs la guerre, la famille Ă©migre aux États-Unis Ă  New York.

Éveil d'une artiste [modifier | modifier le code]

DÚs l'ùge de 14 ans, Yoko se allot à fifty'art avec notamment l'écriture, montrant déjà une attirance trÚs nette vers l'avant-gardisme. Elle fréquente le milieu théùtral, entamant aussi des études de philosophie. Elle suit également des cours de lettres et de chant et découvre des compositeurs d'advanced tels qu'Arnold Schönberg. Précoce, elle réalise de la musique expérimentale, des installations conceptuelles et de la performance.

En 1952, Yoko dĂ©mĂ©nage avec toute sa famille Ă  Scarsdale (New York) [iii] . Elle commence alors des Ă©tudes supĂ©rieures au Sarah Lawrence College. AprĂšs avoir rencontrĂ© le compositeur japonais Toshi Ichiyanagi, elle arrĂȘte ses Ă©tudes en 1955, afin de s'installer Ă  Manhattan. En 1955, elle publie le poĂšme A Grapefruit in the World of Park, fragment prosaĂŻque, absurde et faussement naĂŻf de dialogues entre une mĂšre et son enfant dans Central Park (Where is this / this is the park / I tin can smell metal in the air / No it's the clovers / Are they bleeding / No it's the dusk / would you like to speak to the dead / Oh no I just came here to pare grapefruit [4] ). Elle Ă©pouse Toshi en 1957. Lors d'une confĂ©rence du maĂźtre zen Suzuki, elle rencontre John Muzzle, dont elle et Ichiyanagi deviennent proches.

Le mouvement Fluxus [modifier | modifier le code]

Les annĂ©es 1960 sont dĂ©cisives pour la carriĂšre artistique de Yoko. De Ă  , elle organise, en collaboration avec le compositeur expĂ©rimental La Monte Young, une sĂ©rie pluridisciplinaire de concerts/expositions dans son loft, situĂ© au 112 Chambers Street Ă  New York, oĂč se produisent Ă  cette occasion des musiciens comme Henry Flynt ou Jackson Mac Low, la danseuse pionniĂšre Simone Forti ou le sculpteur minimaliste Robert Morris. De grands noms de l'art contemporain tels que la collectionneuse Peggy Guggenheim ou l'un des plus grands artistes du Xx east  siĂšcle, le dadaĂŻste Marcel Duchamp, frĂ©quentent ces Ă©vĂ©nements, qui entrent dans l'histoire de fifty'art. Au mĂȘme moment, Yoko dĂ©veloppe un format artistique sous forme de partitions textuelles devant ensuite ĂȘtre prĂ©sentĂ©es dans le core de performances, les Instructions Pieces. Ses premiĂšres Ɠuvres Kitchen Slice et Pea Slice proposent une exploration du quotidien le plus ordinaire, Ă  mille lieues des exigences Ă©litistes de l'art acadĂ©mique.

Inspiré par les événements artistiques organisés par Yoko, George Maciunas, qui deviendra le fondateur de Fluxus, ouvre l'AG Gallery [5] . En , il programme la premiÚre exposition consacrée aux travaux de Yoko, Paintings and Drawings of Yoko Ono. Fifty'artiste betrayal des tableaux-instructions poétiques comme Painting to exist Stepped On (tableau sur lequel marcher) ou Painting to See in the Dark (tableau à regarder dans le noir).

Toujours en 1961, le Carnegie Recital Hall de New York lui consacre une soirĂ©e qui prĂ©sente ses performances : A Grapefruit in the World of Park, A Piece for Strawberries and Violin, rĂ©alisĂ©es avec la participation de David Tudor et de nombreux artistes de monde d'avant-garde, comme Yvonne Rainer.

De 1962 Ă  1964, elle retourne au Japon oĂč elle se produit au SĂ”getsu Art Center de Tokyo avec notamment la piĂšce Painting To Be Constructed in Your Head (tableau Ă  construire dans votre tĂȘte) dont les instructions sont : « dans votre tĂȘte, transformez un tableau carrĂ© jusqu'Ă  ce qu'il devienne rond... ». Puis elle adjust la tournĂ©e de concerts de John Cage en qualitĂ© d'interprĂšte (elle collabore notamment Ă  la piĂšce Music Walk and Arias for Solo Piano with Fontana Mix). Peu aprĂšs avoir entamĂ© une procĂ©dure de divorce avec Toschi Ichiyanagi, elle rencontre le musicien de jazz et producteur Anthony Cox.

Le 28 novembre 1962, Yoko Ono épouse Anthony Cox. Le 2d mariage de Yoko fut annulé le 1er mars 1963, car elle n'avait pas finalisé sa procédure de divorce d'avec Ichiyanagi. AprÚs avoir finalisé ce divorce, Anthony Cox et Yoko Ono se marient à nouveau le 6 juin 1963. Yoko donne naissance à sa fille Kyoko Chan Cox deux mois plus tard, le 8 août 1963.

De retour Ă  New York en 1965, elle collabore activement aux actions de Fluxus : elle crĂ©e la mĂȘme annĂ©e, lors du Perpetual Fluxfest au Carnegie Hall, Bag Piece, Beat Piece, Cut Piece et Sky Piece for Jesus Christ. Elle publie aussi Grapefruit, united nations recueil de ses Instruction pieces [six] .

Devenue un jalon de l'histoire de fifty'art, et plus prĂ©cisĂ©ment du courant fĂ©ministe en fine art, Cut Piece est jouĂ© pour la premiĂšre fois en Ă  Kyoto. Durant cette performance, Yoko demeure immobile sur scĂšne, les yeux baissĂ©s, en posture agenouillĂ©e. Les spectateurs sont invitĂ©s Ă  venir dĂ©couper ses vĂȘtements, mettant son corps Ă  nu (ce qui est loin d'ĂȘtre anodin dans le contexte puritain des annĂ©es 1960 [seven] ). Dans cette operation, le spectateur devient acteur. Cependant, loin d'ĂȘtre Ă©rotique, le dĂ©shabillage apparaĂźt comme une agression, montrant que "le regard anonyme peut porter atteinte au sujet regardĂ©, allant jusqu'Ă  le dĂ©truire [eight] ". AprĂšs cela Yoko Ono a dĂ©clarĂ©: "les gens continuaient Ă  couper les parties de moi qui ne leur plaisaient pas. Finalement, il due north'est plus restĂ© que la pierre qui est en moi : mais ils north'Ă©taient toujours pas satisfaits, et ils voulaient voir de quoi Ă©tait faite la pierre [9] ".

Yoko collabore aussi Ă  la publication Fluxus ane de George Maciunas. En 1966, Fluxus soutient la rĂ©alisation de plusieurs de ses films, dont le plus cĂ©lĂšbre est le trĂšs provocateur N° 4 Bottoms, qui montre une collection de fesses (appartenant Ă  pas moins de 365 personnes) montrĂ©es en gros plan, filmĂ©es en marchant.

Rencontre avec John Lennon [modifier | modifier le code]

Découverte lors d'un vernissage [modifier | modifier le lawmaking]

Yoko Ono et John Lennon Ă  Schiphol en 1969.

En septembre 1966, Yoko et Tony décident de south'installer à Londres. Ayant fait la connaissance de John Dunbar, grande figure de fifty'avant-garde artistique londonienne et directeur de la galerie Indica qu'il a ouverte avec Paul McCartney, elle parvient à exposer (et imposer) son travail lors d'une exposition intitulée Unfinished Paintings & Objects.

Le , Ă  la veille du vernissage de l'exposition, Yoko rencontre John Lennon. Ce dernier dĂ©couvre alors son univers, qui entre intimement en rĂ©sonance avec ses propres aspirations intellectuelles et artistiques. John due north'est d'abord pour Yoko qu'united nations « blazon sĂ©duisant » dont l'immense notoriĂ©tĂ© provient d'un univers qui lui est Ă©tranger et qui paraĂźt ĂȘtre son opposĂ© absolu. Lorsque Dunbar demande Ă  Yoko de laisser Lennon enfoncer un clou sur l'une de ses Ɠuvres, elle refuse et affirme que la planche doit rester intacte pour le lendemain. John suggest alors de payer cinq shillings imaginaires pour planter un clou imaginaire. Il racontera plus tard :

« Il y avait une Ă©chelle suspendue au plafond, menant Ă  une peinture. On aurait dit une toile vierge avec une chaĂźne Ă  l'extrĂ©mitĂ© de laquelle pendait une loupe. J'Ă©tais anti-art parce que j'avais passĂ© cinq annĂ©es dans une Ă©cole d'art et qu'ils Ă©taient tous bidon et j'Ă©tais vraiment contre. Mais en visitant les galeries je chiliad'y Ă©tais de nouveau intĂ©ressĂ© et j'Ă©tais lĂ . J'ai escaladĂ© l'Ă©chelle et pris la loupe, je me balançais lĂ -haut et dans une Ă©criture minuscule ça disait simplement « Oui ». Et c'est ce qui m'a dĂ©cidĂ© Ă  rester. Ça disait « Oui ». Ça 1000'a dĂ©cidĂ© Ă  voir la suite de l'exposition. Si ça avait dit « Non » ou quelque chose de mĂ©chant ou de sarcastique, du genre « Arnaque » ou je ne sais quoi, j'aurais quittĂ© la galerie sur-le-champ. Parce que c'Ă©tait positif et que ça disait « Oui », je me suis dit : « OK, c'est la premiĂšre exposition oĂč je vais qui me dit quelque chose de chaleureux ». Alors j'ai dĂ©cidĂ© de voir le reste de l'exposition. Et voilĂ  comment on due south'est rencontrĂ©s. Si ça avait dit « Non », je serais parti. C'Ă©tait comme united nations truc personnel. Je suppose que quiconque lisait ça ressentait la mĂȘme chose. Mais j'ai pris ça comme un « Oui » que fifty'artiste thou'adressait personnellement [x] . »

Film et second vernissage [modifier | modifier le code]

En , Yoko attire l'attention du public britannique avec le picture Bottoms. À la fin du mois d'aoĂ»t de la mĂȘme annĂ©e, ses concerts conceptuels provoquent des dĂ©bats dans la presse hush-hush et Wrapping Piece, qui fifty'amĂšne Ă  couvrir les lions de Trafalgar Square de rouleaux de papier, remplit les pages des quotidiens londoniens [eleven] .

En , Yoko persuade John de sponsoriser sa prochaine exposition Half a Wind, qui doit se tenir Ă  la Lisson Gallery de Marylebone. Il northward'accepte qu'Ă  la condition que son nom n'apparaisse pas dans le program. Quelque temps plus tard, Yoko est invitĂ©e Ă  la projection de Bottoms au cours d'un festival artistique Ă  Knokke-le-Zoute, en Belgique et se rend Ă©galement Ă  Paris cascade y exposer ses Ɠuvres. Parmi ses admirateurs se trouve le musicien de costless jazz Ornette Coleman qui, sur le point de se rendre Ă  Londres cascade s'y produire au Royal Albert Hall, propose Ă  Yoko de se joindre Ă  lui sur scĂšne.

Mise en couple et séparation [modifier | modifier le code]

En , alors que Cynthia Powell, son Ă©pouse, est en GrĂšce, John invite Yoko dans sa rĂ©sidence de Kentwood, oĂč ils enregistrent leur premier travail en commun, Unfinished Music No.1: Two Virgins, pour lequel ils apparaissent tous les deux nus sur la pochette et contenant deux longs morceaux de musique expĂ©rimentale. Le soir mĂȘme, le futur couple consomme son union pour la premiĂšre fois. Lennon divorce de Cynthia en et, en , Yoko divorce d'Anthony.

Le couple se marie le à Gibraltar. Devenus inséparables, Yoko et John font par la suite une série d'apparitions artistiques ou musicales (dont The Rock and Roll Circus des Rolling Stones) qui suscitent indignation et surprise parmi le grand public. Ils se rendent également célÚbres par leur date en faveur de la paix dans le monde, notamment au travers du tube Give Peace a Risk, attribué à leur nouveau groupe Plastic Ono Band.

Relations avec les Beatles [modifier | modifier le code]

Le 30 mai 1968, dĂšs le dĂ©but des sĂ©ances de 50'album The Beatles, la prĂ©sence constante de Yoko aux cĂŽtĂ©s de John nuit considĂ©rablement Ă  50'ambiance rĂ©gnant au sein du groupe. Contrairement aux autres Ă©pouses ou compagnes, elle ne se contente pas de rester en compagnie du producteur et des ingĂ©nieurs du son, mais southward'installe dans le studio mĂȘme sous l'insistance de John, faisant des commentaires sur son travail. « Yoko a tout bonnement emmĂ©nagĂ©, dira George Harrison. Enfin, John a emmĂ©nagĂ© avec Yoko, ou elle a emmĂ©nagĂ© avec lui. À partir de ce moment-lĂ , on ne les a plus jamais vus l'united nations sans fifty'autre, du moins pendant les deux annĂ©es suivantes. Elle faisait tout Ă  coup partie du groupe ; elle ne s'est pas mise Ă  chanter ou Ă  jouer, mais elle Ă©tait lĂ . C'Ă©tait trĂšs Ă©trange de la voir lĂ , en permanence. Pas seulement parce que c'Ă©tait Yoko, ou parce qu'on Ă©tait opposĂ©s Ă  l'idĂ©e qu'un Ă©tranger reste lĂ . Mais il y avait une vibration particuliĂšre et c'est ce qui me tracassait. C'Ă©tait une vibration bizarre [12] . » Elle chante tout de mĂȘme united nations vers de la chanson de John, The Continuing Story of Bungalow Bill, alors que Maureen Starkey, l'Ă©pouse de Ringo, se contente de faire les chƓurs.

Dans un premier temps, les membres du groupe ne pensent voir lĂ  que la manifestation passagĂšre d'un nouvel amour. Mais, lors de 50'enregistrement de leur ultime album Abbey Road, en , ils dĂ©chantent lorsque John fait installer united nations lit dans le studio cascade Yoko, qui doit se remettre d'united nations accident de voiture survenu en Écosse quelques jours plus tĂŽt. Un microphone est mĂȘme suspendu au-dessus de sa couche, pour lui permettre de parler avec son Ă©poux, dĂ©cidĂ© Ă  l'inclure dans le processus crĂ©atif du groupe.

De ce fait, Yoko devient un grand sujet de controverse chez les fans du groupe et sera considĂ©rĂ©e comme la principale cause de la sĂ©paration des Beatles. Cependant, beaucoup south'accordent Ă  dire qu'elle a aussi Ă©tĂ© une bouĂ©e de sauvetage pour un John en perdition et qu'elle allait exercer une influence considĂ©rable sur plusieurs de ses compositions. John Lennon disait d'elle qu'elle est «the world's nigh famous unknown artist : anybody knows her proper noun but no one knows what she actually does. [13]  » (« la plus cĂ©lĂšbre artiste inconnue du monde : tout le monde connaĂźt son nom mais personne ne sait ce qu'elle fait rĂ©ellement »), ce qui souligne aussi les nombreux prĂ©jugĂ©s dont elle a fait 50'objet malgrĂ© sa carriĂšre artistique.

Années 1970 [modifier | modifier le code]

Premiers albums solos et New York [modifier | modifier le lawmaking]

En , Yoko publie son premier album solo Yoko Ono/Plastic Ono Band, conjointement au disque de John John Lennon/Plastic Ono Band. Uniquement composĂ© d'improvisations, l'album se classe Ă  la 183e identify des charts aux États-Unis. En 1971, son premier double album Fly est Ă©galement Ă©ditĂ©, avec la chanson Mrs Lennon qui sera son premier single en solo.

AprĂšs des voyages incessants entre le Royaume-Uni et les États-Unis, John et Yoko s'installent dĂ©finitivement Ă  New York, au mois d'. Ils rĂ©sident d'abord dans le West Village new-yorkais. Leur arrivĂ©e sur le sol amĂ©ricain suscite fifty'engouement des mĂ©dias qui les inondent de demandes d'interviews. Le couple y voit une formidable occasion d'intensifier sa campagne cascade la paix, en jouant un rĂŽle actif dans de nombreuses manifestations politiques.

Le , John et Yoko organisent deux concerts de charitĂ© au Madison Foursquare Garden de New York, au profit de la Willowbrook State School, un hĂŽpital psychiatrique cascade enfants de Staten Island, avec la participation de Stevie Wonder, Roberta Flack et Sha Na Na. AccompagnĂ© par leur nouvelle germination Elephant'due south Retentiveness Band, le couple interprĂšte des chansons provenant de leurs premiers albums solos dont le rĂ©cent Some Time in New York City. À l'automne, Yoko enregistre son deuxiĂšme double anthology Approximately Infinite Universe aux sonoritĂ©s plus stone. Cet album suscite trĂšs peu d'intĂ©rĂȘt lors de sa sortie, mais sera reconnu, bien plus tard, pour sa qualitĂ© musicale.

La séparation [modifier | modifier le code]

En , John et Yoko emménagent dans le fameux immeuble Dakota Building, en face up de Central Park. Mais durant l'été, alors que Yoko enregistre seule son quatriÚme album Feeling the Space, les relations au sein du couple se détériorent au point qu'ils décident de se séparer. Tandis que John s'en va vivre à Los Angeles avec leur assistante personnelle, May Pang, Yoko reste à New York et continue de mener sa propre carriÚre. Durant cette période, elle entretient une relation avec le guitariste David Spinozza et se produit réguliÚrement en tant que musicienne.

En , Yoko retourne au Japon afin d'y entreprendre une brĂšve tournĂ©e et publie pour fifty'occasion le single Yume O Moto (Let'south Have A Dream). Le , elle se produit lors du Ane Footstep Festival, organisĂ© prĂšs de la petite ville de Koriyama. À la mĂȘme Ă©poque, Yoko entame 50'enregistrement de son cinquiĂšme album, A Story, qui ne sera finalement commercialisĂ© qu'en 1992.

Le , le jour de Thanksgiving, Yoko assiste, dans le public, à un concert d'Elton John au Madison Square Garden de New York, auquel John participe. AprÚs le spectacle, elle vient le saluer dans sa loge, marquant ainsi leur premiÚre rencontre depuis leur séparation. En , aprÚs plus de dix-huit mois passés loin l'un de l'autre, le couple officialise sa réconciliation lors de la 17e cérémonie des Grammy Awards.

Le , aprĂšs de nombreuses fausses couches, Yoko, ĂągĂ©e de 42 ans, met au monde Sean Taro Ono Lennon, le jour du 35e anniversaire de John. À partir de cet instant, le couple se retire de la vie publique et due north'enregistre plus d'albums. À la demande de John, Yoko s'occupe de gĂ©rer leurs affaires familiales en prenant les rĂȘnes des finances communes, tandis que celui-ci se consacre entiĂšrement Ă  l'Ă©ducation de leur fils.

Années 1980 [modifier | modifier le code]

Assassinat de John Lennon [modifier | modifier le code]

En août 1980, aprÚs plus de cinq ans d'absenteeism dans les médias, John et Yoko décident de revenir sur le devant de la scÚne publique avec leur anthology commun Double Fantasy, qui connaßt un succÚs honorable.

Peu aprĂšs, le soir du , Yoko s'affirme en tant qu'artiste pop accomplie en enregistrant Walking on Thin Water ice, que le couple souhaite sortir en single. À 22h45 [14] , [15] , alors qu'ils rejoignent le Dakota Building, peu aprĂšs la sĂ©ance d'enregistrement, Marker David Chapman, united nations fan dĂ©sĂ©quilibrĂ©, abat John de quatre balles de revolver, sous les yeux de Yoko. Quelques heures plus tĂŽt, John lui avait accordĂ© un autographe [16] , [17] .

AprĂšs l'assassinat de Lennon, Yoko ralentit sa product artistique et se consacre entiĂšrement Ă  son fils Sean et Ă  la gestion de l'empire Ă©conomique de son dĂ©funt conjoint ; cela avec plus de sĂ©rieux et de professionnalisme. Elle Ă©dite des disques posthumes de John : Live in New York City, Milk and Love et Menlove Avenue, avec de vieilles chansons ou de simples maquettes, et collabore avec Paul McCartney, George Harrison et Ringo Starr dans la dĂ©fense des intĂ©rĂȘts communs des Beatles.

En 1981, Yoko publie son cinquiĂšme anthology solo Season of Drinking glass dont sa cĂ©lĂšbre pochette montrant les lunettes de Lennon tachĂ©es de sang, provoque de violentes critiques qui 50'accusent d'ĂȘtre insipide et de vouloir exploiter la mort de John. Cependant, elle dĂ©clara avoir choisi cette image, son but ayant Ă©tĂ© de reprĂ©senter ce qu'elle et d'autres membres de la famille de Lennon ont endurĂ© aprĂšs sa mort. En avril 2002, cette photographie sera vendue aux enchĂšres Ă  Londres pour 13 000$.

CarriĂšre [modifier | modifier le code]

CarriÚre cinématographique [modifier | modifier le code]

Entre 1964 et 1972, Yoko réalise plus d'une soixantaine de films.

EncouragĂ©e dans cette voie par Jonas Mekas en 1964, Yoko Ă©crit, selon le principe de ses Instructions Pieces, des scripts de films qui interrogent la nature du mĂ©dium cinĂ©matographique : elle propose par exemple de distribuer des ciseaux au public pour lui permettre de dĂ©couper sur 50'Ă©cran ses morceaux prĂ©fĂ©rĂ©s du film. DĂšs 1966, elle rĂ©alise Fluxfilms, une sĂ©rie de courts-mĂ©trages rassemblĂ©s par George Maciunas en une Ɠuvre commonage produite par Fluxus et qui sera prĂ©sentĂ©e au festival du cinĂ©ma indĂ©pendant d'Ann Arbor aux États-Unis la mĂȘme annĂ©e. La plupart d'entre eux sont tournĂ©s par George Maciunas, avec une camĂ©ra ultarapide, que ce dernier avait empruntĂ©e au cinĂ©aste underground Ed Emshwiller [rĂ©f. nĂ©cessaire] .

En 1967, Yoko tourne Four (Bottoms), littĂ©ralement « quatre derriĂšres », qui acquiert une certaine notoriĂ©tĂ© par le scandale des postĂ©rieurs qu'il met en scĂšne. Au-delĂ  de ce qui pourrait apparaĂźtre comme une provocation nourrie de 50'esprit et de l'utopie des annĂ©es 1960, ce film affirme un principe visuel trĂšs construit et le titre Four dĂ©termine le cadrage de la composition sur ces fesses paradoxalement dĂ©matĂ©rialisĂ©es en un quadrillage abstrait.

Militante des droits des femmes, Yoko a également figuré au générique de plusieurs films sur la maltraitance des femmes, dont Satan's Bed, sorti en 1965.

Filmographie [modifier | modifier le code]

  • 1965 : Satan's Bed (en tant qu'actrice)
  • 1965 : Cut Piece (9 minutes)
  • 1966 : Eye Blink (5 minutes)
  • 1966 : Bottoms (5½ minutes)
  • 1966 : Match (5 minutes)
  • 1967 : Wrapping Piece (approx. 20 minutes, musique de Delia Derbyshire)
  • 1967 : Film No. iv (Bottoms) (80 minutes)
  • 1967 : Bottoms, bande-annonce (approx. 2 minutes)
  • 1968 : Two Virgins (approx. twenty minutes)
  • 1968 : Motion picture No. Five (Smile) (51 minutes)
  • 1969 : Rape (77 minutes) avec Eva Rhodes
  • 1969 : Bed-In (74 minutes)
  • 1970 : Let It Be (81 minutes) de Michael Lindsay-Hogg
  • 1970 : Apotheosis (xviii½ minutes)
  • 1970 : Freedom (1 minute)
  • 1971 : Sweetness Toronto/Go on On Rockin (lxx minutes) de D.A. Pennebaker
  • 1971 : Fly (25 minutes)
  • 1971 : Making of Wing (approx. thirty minutes)
  • 1971 : Erection (xx minutes)
  • 1971 : Imagine (70 minutes)
  • 1971 : Sisters O Sisters (4 minutes)
  • 1971 : Luck of the Irish (approx. 4 minutes)
  • 1972 : Flipside (spectacle tĂ©lĂ©visĂ©) (approx. 25 minutes)
  • 1972 : Live in New York Metropolis (approx. 50 minutes)
  • 1984 : Then & Now (58 minutes)
  • 2000 : Design for the Sunrise (28 minutes)
  • 2018 : L'Île aux chiens (Isle of Dogs) de Wes Anderson (en tant que voix de l'assistante scientifique)

CarriĂšre musicale [modifier | modifier le code]

Yoko a également mené une carriÚre de chanteuse. Elle était déjà musicienne lorsqu'elle rencontra Lennon, ayant entre autres collaboré avec John Cage, La Monte Young et Ornette Coleman.

Yoko Ă©tudie la musique dĂšs son plus jeune Ăąge dans une Ă©cole maternelle spĂ©cialisĂ©e appelĂ©e « Jiyu-Gakuen ». Elle y apprend Ă  Ă©couter les sons de 50'environnement et de la vie quotidienne et Ă  les traduire en notations musicales, comme le fera plus tard John Cage. Dans son dĂ©sir de transcrire les bruits de la nature, elle dĂ©cide de combiner le fashion de note musicale occidental Ă  des instructions, prĂ©lude aux "Instruction Pieces" qu'elle dĂ©veloppera pour la peinture et la sculpture, aprĂšs avoir remarquĂ© combien dans la musique, Ă  la diffĂ©rence de 50'fine art plastique, il y a une sĂ©paration entre la sectionalization Ă©crite par le compositeur et fifty'interprĂ©tation qu'en fait le musicien. AprĂšs avoir Ă©tudiĂ© au « Sarah Lawrence Higher », oĂč elle chante des lieder allemands et des airs d'opĂ©ra, elle rencontre les compositeurs Edgar VarĂšse, Morton Feldman et John Muzzle qui dĂšs la fin des annĂ©es 1950 l'encouragent Ă  se lancer dans la direction qu'elle souhaite emprunter. Elle pĂ©nĂštre le monde de 50'avant-garde musicale avec son premier mari, Toshi Ichiyanagi, united nations jeune musicien et compositeur japonais qui gagne sa vie comme copiste de partitions pour des compositeurs. Tous deux s'installent Ă  Manhattan, dans united nations loft sur Chambers Street, qui devint, au dĂ©but des annĂ©es 1960, le théùtre de nombreuses performances artistiques et de concerts avec La Monte Young, John Muzzle et George Maciunas.

La musique de Yoko a souvent Ă©tĂ© qualifiĂ©e par ses dĂ©tracteurs comme une litanie de cris, d'autant plus insupportable que l'artiste avait Ă  leurs yeux semĂ© le germe de la rupture entre les Beatles avec l'expĂ©rimental Revolution 9. Les cris Ă©mis par Yoko dans ses performances vocales traduisent le conflit culturel qui la marquait depuis son enfance, partagĂ© entre Orient et Occident, le Japon et les États-Unis, oĂč elle fut Ă©levĂ©e entre un pĂšre qui vouait une admiration infinie Ă  Bach, Beethoven et Brahms et une mĂšre qui jouait de plusieurs instruments traditionnels japonais. Ils sont aussi rĂ©vĂ©lateurs de l'importance qu'elle accorde au corps comme musical instrument primordial, vecteur d'Ă©motions musicales. Yoko exploite le spectre de la voix de maniĂšre unique. Elle devait devenir par la cruditĂ© de sa voix, le recours Ă  l'improvisation et au free jazz, une des sources occultes du rock expĂ©rimental.

En 1982, Yoko publie Information technology'southward Alright (I See Rainbows), dégageant une ambiance plus positive que son précédent. 50'album connaßt un succÚs mineur dans les charts et deux de ses chansons My Man et Never Say Goodbye seront publiées en single.

En 1984, Every Man Has A Adult female Who Loves Him, un album comportant une sĂ©lection de chansons de Yoko, interprĂ©tĂ©es par des artistes tels qu'Elvis Costello, Roberta Flack, Eddie Coin, Rosanne Cash et Harry Nilsson est commercialisĂ©. Ce fut 50'un des projets que John ne put jamais terminer. Plus tard, dans la mĂȘme annĂ©e, le dernier album posthume de John et Yoko dans la veine de Double Fantasy, Milk And Honey est publiĂ©.

En 1985, Ă  l'occasion du 45due east anniversaire de Lennon, une partie de Fundamental Park est rĂ©amĂ©nagĂ©e grĂące Ă  un don d'un million de dollars de Yoko et baptisĂ© le Strawberry Field Memorial. Dans un mĂȘme temps, Starpeace est le dernier anthology de Yoko Ă  paraĂźtre durant les annĂ©es 1980. Le single Hell in Paradise devient united nations hitting, se classant Ă  la 16e position des charts amĂ©ricains et 26e dans la liste des 100 plus grands succĂšs du Billboard. Le clip, qui accompagne la chanson, gagne fifty'honor de la "vidĂ©o la plus innovante" (Most Innovative Video) aux Billboard Music Video Awards en 1986.

Pour promouvoir l'album, Yoko entame sa premiĂšre tournĂ©e mondiale World Tour For Starpeace, visitant les pays de l'Est dans lesquels elle sentait devoir proclamer son message de paix. À cette occasion, elle repasse par le Hilton d'Amsterdam oĂč elle accorde des interviews aux journalistes, installĂ©e sur le lit oĂč John et elle ont fait leur premier Bed-In, dix-sept ans plus tĂŽt. Sur scĂšne, en plus de son propre rĂ©pertoire, elle interprĂšte quelques-unes des chansons les plus connues de son mari dont le cĂ©lĂšbre Imagine.

En 1991, elle crĂ©e, avec son fils Sean et le chanteur Lenny Kravitz, le Peace Choir. À cette occasion, ils enregistrent, avec de nombreux autres artistes, une reprise de Give Peace a Chance pour protester contre la Guerre du Golfe. Fifty'annĂ©e suivante, Yoko signe united nations contrat avec la maison d'Ă©dition Rykodisc afin de publier d'un coffret de six disques Onobox, rĂ©sumĂ© de sa carriĂšre musicale, agrĂ©mentĂ© de maquettes et de chansons inĂ©dites. Une compilaton Walking On Thin Ice sort Ă©galement. En 1995, elle retourne en studio pour l'enregistrement de Rising, une collaboration avec son fils Sean et son groupe IMA. Cet anthology engendre une tournĂ©e mondiale qui passera par 50'Europe, le Japon et les États-Unis. 50'annĂ©e suivante, elle collabore avec les DJs amĂ©ricains Cibo Matto, Ween Tricky et Thurston Moore cascade l'Ă©laboration d'une version remix, Rising Mixes.

En 1997, Rykodisc édite tous les albums de Yoko en compact disc. Yoko et l'ingénieur du son Rob Stevens supervisent la remastérisation des bandes originales et des bonus sont également ajoutés (démos, prises alternatives, inédits et versions lives). L'année 2001 voit la sortie de l'album Design For a Sunrise, qui reprenant le thÚme d'un camaraderie féministe engagé, déjà abordé dans Approximately Infinite Universe et Feeling The Space.

En 2002, les DJs amĂ©ricains (Pet Shop Boys, Orangish Manufactory, Peter Rauhofer, Danny Tenaglia) commencent Ă  travailler sur un projet consistant Ă  remixer le rĂ©pertoire de Yoko pour des clubs de dance. Pour cela, Yoko supprime son prĂ©nom qui devient simplement ONO, une rĂ©ponse ironique Ă  la phrase : "Yoko Ono Oh No!", une plaisanterie qui l'a poursuivie tout au long de sa carriĂšre. Le projet connaĂźt united nations one thousand succĂšs, confirmĂ© en avril 2003, avec une nouvelle version de Walking On Thin Ice des Pet Store Boys, qui atteint la premiĂšre place du Billboard, faisant de ce unmarried le premier numĂ©ro un de Yoko. Elle revient Ă  la premiĂšre place en avec Everyman...Everywoman....., une version de la chanson Every Man Has A Woman Who Loves Him dont les paroles sont modifiĂ©es afin de soutenir les mariages gays.

En 2007, sort Aye I'k A Witch, une compilation regroupant une sĂ©lection de remix du catalogue de Yoko par divers artistes comprenant The Sleepy Jackson, The Flaming Lips, Cat Ability, Antony Hegarty (du groupe Antony and the Johnsons), DJ Spooky, Porcupine Tree et Peaches. L'album reçoit un bon accueil de la part des critiques, trĂšs surprises. EncouragĂ© par ce succĂšs, un second album Open Your Box est publiĂ© selon le mĂȘme concept.

Durant sa carriĂšre, Yoko a collaborĂ© avec defined groupes, artistes et musiciens dont John Lennon, Eric Clapton, Klaus Voormann, John Cage, Frank Zappa, Andy Warhol, Sean Lennon, Cornelius (Keigo Oyamada, Naoki Shimizu et Yoko Araki), Paul McCartney, David Spinozza, Hugh McCracken, Michael Brecker, Earl Slick, The Flaming Lips, Pet Shop Boys, Peter Rauhofer, Danny Tenaglia, David Tudor, George Maciunas, Ornette Coleman, Hirotaka Shimizu, True cat Power, Charlotte Moorman, George Brecht, Jackson Mac Low, Jonas Mekas, Lenny Kravitz, Thurston Moore, Tricky, Yuka Honda, Nick Vernier Band, Cibo Matto, Yvonne Rainer, La Monte Young, Richard Maxfield, Zbigniew RybczyƄski, Yo La Tengo, DJ Spooky, Peaches, Fred DeAsis, Basement Jaxx, Nib Kates, Billy Martin, Apples In Stereo, Michael Leonhart, Damien Price, DJ Chernobyl, Bimbo Jones, DJ Dan, Erik Friedlander, Daniel Carter, Craig Armstrong, Konrad Behr, Jorge Artajo, Shuji Nabara, Indigo Street, Lady Gaga et Dave Aude. Yoko a Ă©tĂ© 12 fois numĂ©ro united nations du classement amĂ©ricain Billboard, catĂ©gorie "Trip the light fantastic toe/club play" depuis les four derniĂšres annĂ©es. AprĂšs Walking on sparse ice en , Angel est northo  one du Billboard en .

Discographie [modifier | modifier le code]

Albums [modifier | modifier le lawmaking]

Année Anthology Meilleure
position
1970 Yoko Ono/Plastic Ono Band 182
1971 Fly 199
1973 Approximately Infinite Universe 193
Feeling the Infinite -
1974 A Story -
1981 Flavor of Glass 49
1982 It'due south Alright (I See Rainbows) 98
1985 Starpeace -
1995 Rise -
2001 Blueprint for a Sunrise -
2007 Yes, I'1000 a Witch
Open Your Box
-
2009 Between My Head and the Heaven -
2012 Yokokimthurston -
2013 Take Me to the Land of Hell -
2016 Yes, I'm a Witch Likewise -
2018 Warzone -

Albums avec John Lennon [modifier | modifier le code]

Année Album Meilleure
position
1968 Unfinished Music No.one: Two Virgins 124
1969 Unfinished Music No.2: Life with the Lions 174
Hymeneals Album 178
Live Peace in Toronto 1969 x
1972 Some Time in New York City 48
1980 Double Fantasy one
1984 Milk and Beloved 11

Compilations [modifier | modifier le lawmaking]

  • 1974 : Welcome: The Many Sides of Yoko Ono
  • 1992 : Onobox
  • 1992 : Walking on Sparse Ice
  • 1994 : New York Stone
  • 1996 : Rising Mixes
  • 2012 : Onomix

Faces B des singles de John Lennon [modifier | modifier le code]

  • 1969 : Remember Dearest (sur Give Peace A Chance)
  • 1969 : Don't Worry Kyoko (sur Cold Turkey)
  • 1970 : Who Has Seen The Current of air (sur Instant Karma)
  • 1971 : Why (sur Mother)
  • 1971 : Open Your Box (sur Power to the People)
  • 1971 : Listen The Snow Is Falling (sur Happy Xmas (War Is Over))
  • 1972 : Sisters O Sisters (sur Adult female Is the Nigger of the World)
  • 1980 : Kiss Osculation Kiss (sur (Simply Like) Starting Over)
  • 1981 : Beautiful Boys (sur Woman)
  • 1981 : Yes I'm Your Angel (sur Watching the Wheels)
  • 1984 : O'Sanity (sur Nobody Told Me)
  • 1984 : Sleepless Nighttime (sur I'thousand Stepping Out)
  • 1984 : Your Easily (あăȘăŸăźæ‰‹) (sur Borrowed Time)

Singles [modifier | modifier le code]

Année Chansons Meilleure position
1971 Mrs. Lennon/Midsummer New York -
Heed Train/Mind, the Snow Is Falling -
1972 Now or Never/Move on Fast -
1973 Death of Samantha/Yang Yang -
Josejoi Banzai (Office one)/Josejoi Banzai (Part 2) (sorti uniquement au Japon) -
Woman Power/Men, Men, Men -
Run, Run, Run/Men, Men, Men -
1974 Yume O Moto (Let's Have a Dream)/It Happened (sorti uniquement au Japon) -
1981 Walking on Thin Ice/It Happened 35
No, No, No/Volition Yous Touch Me -
1982 My Homo/Let the Tears Dry out -
Never Say Farewell/Loneliness -
1985 Hell in Paradise/Hell in Paradise (instrumental) 12
Cape Clear/Walking on Thin Ice (promo) -
2001 Open up Your Box (remix) 25
2002 Kiss Osculation Buss (remix) 20
Yang Yang (remix) 17
2003 Walking on Thin Ice (remix) i
Will I (remix)/Fly (remix) 19
2004 Hell in Paradise (remix) 4
Everyman... Everywoman... (remix) 1
2007 You're the Ane (remix) 2
No, No, No (remix) 1
2008 Give Peace a Take chances (remix) 1
2009 I'thousand Not Getting Plenty (remix) one
2010 Give Me Something (remix) 1
Wouldnit (I'm a Star) (remix) 1
2011 Move on Fast (remix) 1
Talking to the Universe (remix) one
2012 She Gets Down on Her Knees (remix) 5
Early in the Morning -
I'm Moving On (remix) 4
2013 Hold Me (featuring Dave Audé) ane
Walking on Thin Ice 2013 one

Albums hommage [modifier | modifier le code]

  • 1984 : Every Man Has a Adult female(en)
  • 2015 : Cut Pieces: A Tribute To Yoko Ono
  • 2019 : SuONO
  • 2022 : Ocean Child: Songs of Yoko Ono

Personnalité et autres activités [modifier | modifier le code]

Engagements politiques [modifier | modifier le code]

Depuis le dĂ©but des annĂ©es 1960, Yoko a militĂ© cascade la paix et la dĂ©fense des droits des femmes. AprĂšs leur mariage, John et Yoko utilisĂšrent leur cĂ©lĂ©britĂ© pour promouvoir la paix dans le monde avec leur cĂ©lĂšbre Bed-In durant leur lune de miel Ă  fifty'Hilton HĂŽtel, Ă  Amsterdam en . Les mĂ©dias du monde entier les tournĂšrent en ridicule, mais en parlant de l'Ă©vĂ©nement, la presse Ă©voquera systĂ©matiquement le message du couple. Le « Bed-In » de MontrĂ©al, en , voit fifty'enregistrement de leur premier single Give Peace A Risk, un hymne pacifiste composĂ© par le couple. PrĂ©sentĂ© Ă  Vienne et inventĂ© par Yoko en 1962, le « Bagism » leur permettait, en Ă©tant cachĂ© Ă  la vue des spectateurs, de stimuler leur imagination et, en dissimulant les apparences extĂ©rieures, de rendre accessible la rĂ©alitĂ© intĂ©rieure. Le couple rĂ©alisera plusieurs performances de Bagism entre 1968 et 1971, le sac devenant le symbole de leur dĂ©sir d'intimitĂ© et une contestation du racisme.

Dans les annĂ©es 1970, John et Yoko participĂšrent Ă  de nombreuses manifestations politiques en faveur de diverses personnalitĂ©s telles que Bobby Seale, Jerry Rubin, Michael 10, Angela Davis, Kate Millett et David Skin. Le , le couple se produisit aux cĂŽtĂ©s de Stevie Wonder, Phil Ochs et Commander Cody, lors d'une manifestation Ă  Ann Arbor, dans le Michigan, contre l'incarcĂ©ration de John Sinclair, leader du White Panther Party, arrĂȘtĂ© et condamnĂ© Ă  dix ans de rĂ©clusion en pour dĂ©tention de deux joints de marijuana. Ils apparaissent Ă©galement dans l'Ă©mission Mike Douglas Testify qu'ils coprĂ©sentent pendant une semaine, oĂč ils abordent les thĂšmes du racisme du sexisme.

En 2002, Yoko inaugure sa propre rĂ©compense de paix en donnant 50 000 dollars (31,900£) aux artistes vivants dans les rĂ©gions en conflit. Les artistes israĂ©liens et palestiniens sont les premiers destinataires. Le , le jour de la Saint-Valentin et Ă  la veille de fifty'invasion irakienne par les AmĂ©ricains et les Anglais, elle entend parler d'Andrew et Christine Gale, un couple menant une protest au lit dans leur chambre Ă  coucher Ă  Addingham dans le West Yorkshire, en Angleterre. Elle envoie alors des fleurs au couple en leur souhaitant le meilleur pour leur campagne.

Le , Yoko crée une publicité qui est publié dans l'édition du New York Times contenant le mot "IMAGINE PEACE".

Relations avec Paul McCartney [modifier | modifier le code]

En , lorsque Yoko arrive en Angleterre, elle contacte Paul McCartney pour lui demander une sectionalisation originale des Beatles à ajouter à la collection de John Cage. McCartney refuse et lui suggÚre de s'adresser directement à Lennon. Ce dernier lui offrira plus tard les paroles manuscrites de la chanson The Word, qui seront ensuite reproduites dans le livre de Cage, Notations, publié en 1969 [xviii] .

Yoko a souvent discutĂ© avec Paul McCartney au sujet des crĂ©dits d'Ă©criture pour beaucoup de chansons des Beatles. Quand les Beatles Ă©taient encore ensemble, chaque chanson Ă©crite par Lennon ou McCartney, indĂ©pendamment de celles qui apparaissent sur le premier album du groupe Please Delight Me Ă©taient crĂ©ditĂ©es comme Lennon-McCartney, que la chanson soit une collaboration ou un projet solo. AprĂšs la mort de Lennon, McCartney essaya de changer 50'ordre en McCartney-Lennon pour des chansons telles que Yesterday et seulement si elles avaient Ă©tĂ© Ă©crites par lui-mĂȘme, mais Yoko s'y opposa. Elle dit qu'elle pensait que ceci casserait fifty'accord que les deux avaient conclu tandis que Lennon Ă©tait encore vivant. Cependant, McCartney a dĂ©clarĂ© qu'un tel accord n'avait jamais existĂ©. Les deux autres Beatles sont convenus que les crĂ©dits devaient rester les mĂȘmes car ils l'avaient toujours Ă©tĂ© ainsi et Paul retira sa demande. Cependant, une dispute refit surface en 2002. Sur son album enregistrĂ© en alive, Back In The World, xix chansons des Beatles sont dĂ©crites comme Ă©tant Ă©crites par Paul McCartney et John Lennon. Cependant, sur certains albums rĂ©alisĂ©s en solo, la mention Lennon-McCartney a Ă©galement Ă©tĂ© modifiĂ©e cascade des chansons des Beatles. En 1976, Paul sorti un autre album live intitulĂ© Wings Over America dans lequel plusieurs chansons des Beatles sont crĂ©ditĂ©es de cette maniĂšre : P. McCartney - J. Lennon. De mĂȘme en 1998 sur The John Lennon Anthology et Lennon Legend, les crĂ©dits de la chanson Give Peace A Chance sont attribuĂ©s uniquement Ă  John Lennon, au lieu des originaux qui Ă©taient : Lennon-McCartney.

En 1995, McCartney et sa famille collaborĂšrent avec Yoko et Sean Lennon pour crĂ©er le morceau Hiroshima Sky is Always Blue, pour marquer le cinquantiĂšme anniversaire de la chute d'une bombe atomique sur la ville japonaise. Au sujet de Yoko, McCartney dĂ©clara : « J'ai pensĂ© qu'elle Ă©tait une femme froide. Je pense que c'est simulated, elle est juste le contraire. Je pense qu'elle est simplement plus dĂ©terminĂ©e que la plupart des personnes Ă  ĂȘtre elle-mĂȘme. » McCartney northward'invitera pas Yoko aux funĂ©railles de sa femme Linda McCartney en 1998.

Le , lorsque McCartney parla de Yoko durant l'Ă©mission The Howard Stern Show, il dit : « Nous due north'avons jamais european union la meilleure relation du monde, ça c'est sĂ»r. Mais nous oublions complĂštement ça quand nous devons ĂȘtre ensemble. » Il admit plus tard qu'il serait peu disposĂ© Ă  parler du traitement de Julian Lennon, craignant qu'il ne blesse leur rapport d'affaires.

Sa fille Kyoko Chan Cox [modifier | modifier le code]

Kyoko Chan Cox, nĂ©e le , fille de Yoko et du cinĂ©aste Anthony Cox et demi-sƓur de Sean Lennon, a passĂ© ses premiĂšres annĂ©es en Ă©tant entourĂ©e d'artistes, de musiciens et de rĂ©alisateurs de films. Anthony Cox fifty'Ă©leva seul de 1965 Ă  1969 aprĂšs que Yoko se fut sĂ©parĂ©e de lui. Ils divorcĂšrent en .

En 1971, tout en Ă©tudiant avec le gourou Maharishi Mahesh Yogi Ă  Majorque, Cox accusait Yoko d'avoir enlevĂ© Kyoko dans son hĂŽtel. United nations thousand nombre d'accusations ont Ă©tĂ© alors faites par les parents vers l'un et l'autre et sur les droits de la garde parentale. Cox southward'est par la suite installĂ© Ă  Houston, au Texas, et se convertit au christianisme Ă©vangĂ©lique avec sa nouvelle Ă©pouse, qui venait Ă  l'origine de Houston. À la fin de 1971, une audition concernant la garde alla Ă  l'encontre de Cox. En violation de 50'ordre, il enleva Kyoko et disparut. Yoko se lança alors Ă  la recherche de sa fille Ă  l'adjutant de la police et d'investigateurs privĂ©s. Yoko Ă©crivit une chanson au sujet de sa fille, Don't Worry Kyoko (Mummy'south Only Looking For Her Manus In The Snowfall), qui apparut sur l'album live de John et Yoko, Live Peace In Toronto 1969 et en face B du single du Plastic Ono Ring, Cold Turkey.

Cox se rĂ©fugia Ă  Los Angeles oĂč il vĂ©cut avec un ami qui Ă©tait associĂ© Ă  l'Ă©glise Church Of The Living Word. Il rejoint le groupe en 1972 et vĂ©cut par la suite dans diverses communautĂ©s liĂ©es au groupe en Californie. En 1977, Cox quitta le groupe. En 1978, il resta avec Kyoko dans la communautĂ© du Jesus People Us Ă  Chicago.

AprÚs le meurtre de John Lennon le , Cox, avec Kyoko (qui avait alors dix-sept ans), envoya un message de sympathie à Yoko mais ne lui indiqua pas leur adresse. Plus tard, Yoko écrira une lettre ouverte à l'attention de Kyoko en lui disant combien elle lui manquait mais qu'elle cessait ses tentatives pour la retrouver.

Kyoko rĂ©apparut en 1986, participant, en tant que productrice associĂ©e, Ă  united nations movie documentaire de Cox au sujet de sa participation au sein de la « Church building Of The Living Discussion » intitulĂ©, Vain Glory. Cox refit surface en public la mĂȘme annĂ©e, mais Kyoko ne le fit pas.

En 1994, Kyoko, alors adulte et mariĂ©e, rĂ©tablit une relation avec sa mĂšre qui aura pour consĂ©quence une rĂ©union en 2001. La fille de Kyoko, Emi, rencontra alors sa k-mĂšre cascade la premiĂšre fois. Bien que Kyoko Ă©vite la publicitĂ©, elle accorda tout de mĂȘme une interview oĂč elle dĂ©clara que ses retrouvailles avec Yoko furent trĂšs heureuses et qu'elles restaient rĂ©guliĂšrement en contact depuis ce jour.

Kyoko a fait une apparition en public en , Ă  l'ouverture de la piĂšce musicale Lennon, The Musical.

Kyoko vit actuellement dans le Colorado. Elle se consacre Ă  sa famille tout en poursuivant sa carriĂšre d'artiste.

Récompenses [modifier | modifier le code]

  • 1982 : Grammy Award dans la catĂ©gorie « meilleur album de l'annĂ©e » pour Double Fantasy
  • 2001 : Grammy Award dans la catĂ©gorie The Best Long Of Music Video pour la production du movie-documentaire Gimme Some Truth: The Making Of John Lennon Imagine's anthology.

ƒuvres Ă©crites [modifier | modifier le lawmaking]

  • 1964 : Grapefruit: A Volume of Instructions and Drawings
  • 1983 : Summer Of 1980
  • 1990 : The John Lennon Family unit Album
  • 1995 : Instruction Paintings
  • 1995 : Sometimes in New York City (Genesis Publications)
  • 1998 : Grapefruit Juice
  • 2000 : Yes Yoko Ono
  • 2005 : Odyssey Of A Cockroach
  • 2005 : Imagine Yoko
  • 2005 : Memories Of John Lennon
  • 2005 : John Lennon Unfinished Music

Expositions [modifier | modifier le code]

Liste non exhaustive :

  • PAINTINGS AND DRAWINGS BY YOKO ONO, AG Gallery, New York 16 au .
  • YOKO AT INDICA, Indica Gallery, Londres, ix au .
  • UNFINISHED PAINTINGS AND OBJECTS, Camden Square, Londres, xvi au .
  • YOKO ONO: WATER Prove, Arts Lab Eye, Londres, au .
  • Four THOUGHTS: YOKO ONO AND JOHN LENNON, Arts Lab Center, Londres, two au .
  • YOKO ONO: OBJECTS, FILMS, Whitney Museum of American Fine art, New York, - .
  • yeah yoko ono, Walker Fine art Heart, Minneapolis / - .
  • THE Route OF Hope, The Hiroshima City Museum of Contemporary Art, Japon, - .
  • YOKO ONO: GRAPEFRUIT, Moderna Museet, Stockholm, -.
  • YOKO ONO - HALF-A-Wind SHOW, MusĂ©e Guggenheim, Bilbao, - .
  • Yoko Ono: Ane Woman Testify, 1960–1971, Museum of Modernistic Fine art, New York, 2015.
  • YOKO ONO LumiĂšre de L'aube, MAC Lyon, - .

Références [modifier | modifier le code]

  • (en) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l'article de WikipĂ©dia en anglais intitulĂ© « Yoko Ono » (voir la liste des auteurs) .
  1. Son nom en kanji est 氏野 æŽ‹ć­, Ono Yƍko, mais les mĂ©dias japonais Ă©crivent dĂ©sormais son nom en katakana, ă‚Șノ・ăƒšăƒŒă‚ł, Ă©criture utilisĂ©e pour les noms Ă©trangers.
  2. (en) Miranda Sawyer, «The interview: Yoko Ono », sur the Guardian, (consultĂ© le )
  3. «Yoko Ono Chronology | FLUXUS FOUNDATION », sur fluxusfoundation.com (consultĂ© le )
  4. «aiu: a yoko ono website. a grapefruit in the world of park. 1961. », sur world wide web.a-i-u.net (consultĂ© le )
  5. (en) Nell Beram et Carolyn Boriss-Krimsky, Yoko Ono : Collector of Skies, Abrams, , 184p. (ISBN978-1-61312-513-7, lire en ligne)
  6. (en) Yoko Ono, Grapefruit, Tokyo, Wunternaum Press, (collection de la Museum of Mod Art Library)
  7. (en) Mackie, 5. (ss. la dir. de R. Starrs), «Instructing, constructing, deconstructing: the embodied and disembodied performances of Yoko Ono », Rethinking Japanese Modernism, Global Oriental , Leiden,‎ , p. 490-501
  8. Helena Reckitt, Art et féminisme (2001), Londres et New York, Phaidon, 2005, p. threescore.
  9. Yoko Ono, déclaration de l'artiste, 1971. Citée dans Helena Reckitt, Art et féminisme, op. cit., p. 60
  10. The Beatles Anthology, Seuil, , p. 235
  11. (fr) Paul Trynka (trad. de l'anglais), The Beatles : 1961-1970 : dix annĂ©es qui ont secouĂ© le monde, Paris, Tournon, , 456p. (ISBN2-914237-35-nine)
  12. The Beatles Album, Seuil, , p. 308 .
  13. (en) Kevin Concannon, «Yoko Ono's CUT Piece : From Text to Performance and Back Again », Performance Art Journal , no  90,‎ , p. 83
  14. Jean-Paul Bourre, John Lennon, Le Beatle assassiné, Camion Blanc, (ISBN978-2-35779-057-5 et two-35779-057-1)
  15. Pierre Achard, Les derniers jours du rock'n roll, Paris, Grasset, coll. « Documents Français », , 507p. (ISBN978-2-246-73461-1), p. 512
  16. revistaepoca.globo.com/Revista/Epoca/0,,ERT214193-15230-214193-3934,00.html
  17. leseditionsdeschavonnes.com/2017/09/12/lassassinat-de-john-lennon/
  18. (Miles 1997, p. 272)

Voir aussi [modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie [modifier | modifier le code]

  • (fr) The Beatles, The Beatles Anthology, Paris, Seuil, , 367p. (ISBNii-02-041880-0)
  • (fr) Steve Turner (trad. de l'anglais), 50'intĂ©grale Beatles (les secrets de toutes leurs chansons), Paris, Hors Collection, , 267p. (ISBNii-258-06585-ii)
  • (fr) Thierry Liesenfeld, Les Beatles et la France sont des mots qui vont trĂšs bien ensemble, Paris, Le Castor Astral, , 298p. (ISBN2-85920-606-X)
  • (fr) Yoko Ono (trad. de l'anglais), Pamplemousse, Paris, Textuel, , 272p. (ISBN2-84597-100-1)
  • (fr) Paul Trynka (trad. de l'anglais), The Beatles : 1961-1970 : dix annĂ©es qui ont secouĂ© le monde, Paris, Tournon, , 456p. (ISBN2-914237-35-nine)
  • (fr) Collectif, John Lennon Unfinished Music, Paris, CitĂ© de la Musique, , 240p. (ISBN2-7118-4983-X)
  • (fr) Pierre Merle, John Lennon, la ballade inachevĂ©e, Paris, Archipel, , 282p. (ISBN2-84187-260-2)
  • (fr) Philip Norman, John Lennon : Une vie, Paris, Robert Laffont, , 858p. (ISBN978-two-221-11516-9 et 2-221-11516-3)
  • (fr) (en) Barry Miles, Many Years From Now, Londres, Vintage-Random House, , 654p. (ISBN978-0-7493-8658-0)
  • (fr) Liv Strömquist, I'm Every Woman, traduction de Kirsi Kinnunen, Rackham, coll. Le signe noir, 112p, 2018, (ISBN2878272218)

Liens externes [modifier | modifier le code]

  • Ressources relatives aux beaux-arts Voir et modifier les donnĂ©es sur Wikidata  :
    • Delarge
    • MusĂ©e des beaux-arts du Canada
    • MusĂ©e national centre d'fine art Reina SofĂ­a
    • National Gallery of Victoria
    • Tate
    • (en)Art Plant of Chicago
    • (de + en)Artists of the World Online
    • (en)BĂ©nĂ©zit
    • (en)British Museum
    • (en)Grove Art Online
    • (da + en)Kunstindeks Danmark
    • (en)Museum of Modern Fine art
    • (en)MutualArt
    • (en)National Gallery of Art
    • (en)National Portrait Gallery
    • (en)Photographers' Identities Itemize
    • (en + nl)RKDartists
    • (en)Matrimony List of Artist Names

plummerupostionots.blogspot.com

Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Yoko_Ono

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